Samedi 6 décembre
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Un film de : William H. Nutsack
Avec : Mark Ashley, Manuel Ferrara, Chris Cannon, Jada Fire, Flower, Nikki Hunter, Sindee Jennings, Gianna Michaels, Britney Stevens, Lee Stone
Durée : 2h45
Sortie : 2008
"Et là, ce fut la stupéfaction..."
Je vais vous parler de ma vie en guise d'introduction de ce film : non, je n'ai jamais vu de "femmes-fontaines". Je veux dire, je n'en ai jamais vu en vrai, et presque jamais dans des films. Dans certains Manuel Ferrara on peut en appercevoir parfois, mais l'essentiel du film n'est pas basé sur cette caractéristique.
Caractéristique qui rappelons-le, serait -selon les médecins- à la portée de toutes les femmes, mais plus ou moins facile à déclencher.
Alors quelle ne fut pas ma surprise à la vue de ce "Flower's Squirt Shower 6"!! Je vous garantis, se payer l'intro du film de 2 minutes dans la gueule alors que l'on vient de lancer le film sans trop savoir à quoi s'attendre, c'est une sacrée claque.
Au début on peut même penser au fake, mais non, c'est trop énorme, trop vrai, et au final...trop excellent!
En quelques mots, ça gicle, ça jouit, ça coule, ça explose, comme le dit le Saïan Supa Crew, c'est le ras-de-marée.
On a affaire ici à un gonzo 100% boucherie-défonce dans un contexte "ouais mec t'as vu? notre trip c'est ça, on le vit à fond et on t'emmerde", semble nous dire les actrices.
Les actrices sont clairement des pros en la matière, et à la fin des scènes on pourrait croire qu'elles reviennent de la piscine tellement elles dégoulinent. Sauf que les allé-retour ce n'est pas dans le grand bain qu'elles les ont fait, mais dans leur cul.
Beaucoup d'anal, de stimulation clitorisienne, très rapidement les actrices se mettent dans des états pas possibles et ça hurle de partout.
En fait, n'étant pas initié au truc, on ne comprend rien au déroulement des scènes. Chaque actrice jouit 5 fois minimum par scène, c'est l'orgie.
La première scène dépote complètement, la deuxième parait même "calme" tant la violence de celle-ci est...cool!
La deuxième met en scène 2 actrices (blanche et noire) avec un veinard, comme d'hab c'est le jeyser total pire qu'en Islande ;
La troisième met en scène une blonde vertébralement tatouée et une brune, qui avait d'ailleurs joué dans "Big Giant Titties", et donc c'est sans surprises que l'on voit débouler Manuel Ferrara. Le lascard démonte à son habitude ces deux demoiselles qui savent aussi bien s'occuper de lui. Mention spéciale à l'éjaculation finale de la scène, tellement ultimate que ça pourrait être une Fatality dans un Mortal Combat.
Une quatrième scène est plus traditionnelle, avant l'explosion finale, et....
La dernière scène est un triolisme lesbien complètement barré sous amphétamines...c'est simple, les filles perdent presque plus d'eau que contient le corps humain durant 30 minutes non-stop. Elles se gueulent dessus, de godent, elles s'éclatent grave et se la donnent comme pas deux. Je ne parlerai même pas du finish du film, juste cinglé.
Bref, au final tout ceci est carrément excitant, n'importe quoi, c'est du gros délire visuel et sexuel, c'est du bon, mangez-en, c'est sûrement bon pour la santé en plus! (enfin, j'en sais rien mais on m'en a dit du bien...)
Note : 16/20
Les deux autres scènes nous présentent, à tour de rôle, les autres actrices de ce
film dans des scènes hétérosexuelles, et alors qu'on pense que ça s'arrête là, on a droit à une magnifique scène lesbienne entre Gina, Shyla et Lisa. (ci-contre).
