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Dimanche 28 décembre 7 28 /12 /Déc 18:50
































Un film de : Rocco Siffredi
Avec : Omar Galanti, Lucky, Tiffany Hopkins, Fausto Moreno, Aisa, Gessica Massaro, Giorgio Grandi, Miss July, Karol Bankar, Victoria Beautiful, Paola Brathy, Daniela Canalis, Gizelly Canpos, Laura Cardoso, Tommasi Federica, Marcia Fernandes, Jessica Gayle, Timoty Hajd, Samuhel Lennock, Sammara Lopez, Alessandra Noguira, Sara Shiva, Pierre Simon (ouf!)
Durée : 127 minutes
Sortie : 2005

Impressionnant casting! Et pour cause, She-Males Invade Italy est un film de partouzes transsexuelles, un genre plutôt rare et peu évident à trouver.
Ce film est assez étonnant pour plusieurs points, déjà c'est le premier film trans réalisé par Rocco Siffredi, que l'on ne présente même plus. Attention toutefois, même si on aurait été curieux de voir Rocco avec une trans, il ne fait dans ce film que quelques apparitions lors de scènes de comédie.
C'est aussi avec plaisir que nous retrouvons notre Tiffany Hopkins nationale, pour une scène...étonnante.

Alors que donne ce "She-Males Invade Italy"?
Très simple, 3 scènes de partouze où se mèlent hommes, femmes, et transsexuelles.
Première scène : 3 trans, 2 hommes, 1 femme.
Deuxième scène : 3 trans, 2 hommes, 1 femme.
Troisième scène : 7 trans, 6 hommes, 2 femmes.
Alors autant dire un nombre incalculable de possibilités. Tout le monde s'enfile, il y en a partout(ze), et surtout pour la dernière scène ça va dans tous les sens, on ne comprend pas toujours ce qui se passe, c'est un sacré gros bordel parfois comme Rocco sait les mettre en scène.
Mais du coup, ça a l'avantage d'être très varié, si bien que tout le monde en a normalement pour son compte.
Blondes, rousses, brunes, petits ou gros seins, plus ou moins féminines, avec des poitrines de toutes sortes, il y a le choix, pour peu que l'on apprécie les films de partouze.

Un mot sur la deuxième scène du film, la prestation de Tiffany est juste admirable : elle se fait prendre par une transsexuelle et un homme à tour de rôles, ça fait vraiment plaisir de voir cette actrice dans un film de ce genre, car bien trop souvent les acteurs et actrices qui sont dans un genre (lesbien, hétéro), n'en bougent jamais.

Bon, mis à part le gros bordel qu'est la dernière scène (mais je suppose que c'est le but recherché), et dont je ne suis pas trop fan malgré une grande dose de pervertions à tous les niveaux, je pense pouvoir dire que oui, ce film tient largement la route. Si vous n'avez jamais vu de films trans, ne commencez peut-être pas par celui-là, car l'ambiance est assez particulière. Vous risquez de vous en prendre plein la tronche, je vous aurai prévenus. Un voyage au pays de la décadence, qui donne définitivement envie d'y aller...Les actrices transsexuelles ont tellement d'énergie que ça fait plaisir à voir, tout le monde semble s'éclater et heureusement, comme ça ça couvre le côté des fois trop kitsh des décors...

Un film que je conseillerai aux amateurs du genre, ou sinon aux amateurs de sensations fortes...


NOTE : 15/20





































































Publié dans : Trans
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Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 16:40

Un film de : Spyder Jonez
Avec : Tera Patrick, Charmane Star, Lucy Thai, Nyomi Marcela, Jayna Oso, Lily Thai, Mika Tan, Kianna Diorr, Nautica Thorn, Loni, Veronica Lin, Finesse Navarro, Kia Tolentino, Jade Hsu, Spyder Jonez, Kurt Lockwood, Tommy Gunn, Peter Shaft, Seth Dickens, Bolo, Dennis Hof, et....Ron Jeremy en guest star!
Durée : 119 minutes
Sortie : 2005

Non, vous ne rêvez pas, si vous avez bien lu le casting, les connaisseurs comprendront que ce sont juste toutes les plus belles actrices asiatique du X qui sont rassemblées dans ce film.
Réalisé en 2005 par le mari actuel de Tera Patrick, Mr Spyder, on a affaire ici à un véritable délice de beautés asiatiques.
Du fait qu'il soit de 2005, Tera ne tourne qu'avec son mari (c'est l'année d'après qu'elle a commencé avec d'autres hommes). Ensuite ce film nous présente la moitié de scènes lesbiennes, l'autre moitié de scènes hétérosexuelles.
Les scènes alternent ainsi comme ça pendant deux heures.

Le contexte nous place avec un gérant de bordel qui décide de fonder un concept de lieu peuplé de "professionnelles" asiatiques pour aider les clients à trouver la spiritualité.
Bon, c'est la grande ligne, ensuite il ne faut pas se leurrer : c'est un prétexte à des scènes magnifiques, tant au niveau de la lumière, des filles, vêtements, maquillage, coiffures, lieux.

Oui, Tera à L'Asian Palace est beau. Un film Beau. Quel que soit le moment dans le film, l'image est léchée, parfois légèrement "blurrée", ça donne envie de le revoir, juste parce que c'est rare d'avoir ce genre d'image.
Tera Patrick, comme à son habitude, est parfaite, même si son bonnet E de poitrine ne plaira pas à tout le monde.
Mais on dira ce qu'on voudra, la pipe qu'elle fait dans la première scène en fera rêver plus d'un.
Et à propos de rêves, on est très régulièrement transporté dans des délires saphiques qui conviendront autant aux femmes qu'aux hommes, le moins qu'on puisse dire, c'est que ça donne envie!
On a aussi droit à une scène de masturbation de Tera Patrick, un gang-bang peut-être un peu trop mou mais qui finit mieux qu'il ne commence, puis un autre veinard tatoué qui se tape le luxe de profiter de deux filles de l'Asian Palace d'un coup, puis la dernière scène...
Peut-être une des meilleures partouzes lesbiennes que j'ai pu voir. Toutes les actrices sont là, toujours dans ce décor oriental, et ça se lèche et se gode de partout(ze). C'est un joyeux bordel, c'est le cas de le dire.
Tera et Mr Spyder arrivent à leur tour se mêler à tout ça, et c'est décidément...bien.

Points négatifs : la musique est parfois trop stéréotypée, et les scènes manquent un peu de puissance. Non pas que les actrices sont sous-exploitées de ce qu'elles pourraient faire, mais on sent bien que les acteurs manquent de punch, un comble quand on voit ce hardcore-métalleux de Mr Spyder. Heureusement Tommy Gunn relève le niveau.

Un film à thème étonnant donc, franchement beau, excitant, qui saura faire oublier ses quelques défauts.

A noter que l'édition comporte un DVD bonus avec des scènes de masturbation individuelles de chaque actrices.
Et ça, c'est sacrément cool, au moins on en a pour notre argent.


NOTE : 16/20




























































































Publié dans : Films classiques
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Jeudi 18 décembre 4 18 /12 /Déc 23:57































Un film de : Brad Armstrong
Avec : Jessica Drake, Brandi Wylde, Exotica, Jasmine Byrne, Jenaveve Jolie, Kelly Wells, Lauren Phoenix, Shy Love, Barett Blade, Brad Armstrong, Derrick Pierce, Joey Ray, Kris Knight, Randy Spears et Tommy Gun. (et ouais, ça claque comme casting!!)
Durée : 123 minutes
Sortie : 2006

Un film porno américain réalisé par Brad Armstrong avec Jessica Drake en premier rôle et des guests comme Shy Love, Randy Spears et Tommy Gun? J'achète, direct! Allons allons, calmons-nous. Prenons le temps de voir tout ça en détail avant de foncer.
On ne présente même plus Brad Armstrong déjà, il a réalisé nombre de films de Jenna Jameson, est également acteur, et a gagné plusieurs AVN awards. Mais surtout! (et la raison de pourquoi je lui en veux personnellement), il est marié avec...Jessica Drake, au moins pour une fois on est sûrs que l'actrice a couché avec le réalisateur...

Le scénario nous narre l'histoire d'un milliardaire qui part en vacances une semaine et laisse sa maison à une gardienne (Jessica Drake). Tout va bien jusque là, mais un mystérieux individu (joué par Randy Spears), semble très intéressé par quelque chose à l'intérieur de cette maison...
Un scénario-suspense, qui est suffisament bien ficelé pour que, tout le long du film, on ai hâte de savoir ce qu'il va se passer! Et oui! Et je vous garantis que c'est rare dans un film X! En dehors du sexe, le scénario a beau être super simple (avec une touche de Panic Room de David Fincher), on est prit dedans et tenus en haleine jusqu'à la fin.

Niveau sexe, 7 scènes au compteur, dont une scène lesbienne et une de partouze. Rentable.
Toutes les scènes sont assez hard et bien fournies en positions. Les actrices et acteurs sont tous beaux, musclé(e)s, ont des corps de rêves, la palme d'or revenant bien entendu à (vous aurez compris que je l'aime bien cette petite ahah...) Jessica Drake, qui est juste parfaite. Mais toutes les autres actrices cartonnent. Ajoutez à cela une réalisation béton, qualité d'image parfaite HD (sauf pour les quelques pirates qui le téléchargeront, grand mal vous fasse), et vous obtenez une incroyable production Wicked.
Les scènes de sexe occupent plus de la moitié du film, alternant parfaitement avec les scènes de "comédie";
Mention spéciale à Randy Spears, qui est clairement le meilleur acteur du film, et qui en plus assure dans sa scène hard.

Bref, et comme dhabitude avec les films de Brad Armstrong j'ai envie de dire, c'est presque de l'art.
Il serait assez dur de trouver des défauts à ce House Sitter, et ça serai de la mauvaise fois. Un film quasiment tous publics!

Note : 17/20








































Publié dans : Films classiques
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 15:22





























Un film de : Paul Thomas
Avec : Cassidey, Tiffany Taylor, Penny Flame, Eva Angelina, Naudia Styles, Derrick Pierce, Jack Lawrence, Marcus London
Durée : 99 minutes
Sortie : 2006

"Heavy Breathing", mm...forte respiration? Oui, connotation directe à la jouissance, ça commence bien...
Un mot à propos de Paul Thomas d'abord, ce réalisateur prolifique de la compagnie Vivid. Il a signé notamment les excellents "New Devil in Miss Jones", les deux "Masseuse", et il avait même travaillé sur les cinq premiers "Where The Boys aren't".
Toujours de beaux cadres, de belles scènes, des actrices mises en valeur, de la belle lumière, bref à chaque fois on est (presque) dans du vrai cinéma.

Heavy Breathing, c'est l'histoire d'un flic qui enquête sur des pervers qui traquent des hôtesses de téléphone rose. Mais, prit par son boulot, il va finir par se laisser prendre au jeu.
Un scénario juste un brin stressant pour poser une atmosphère particulière. L'histoire met un peu trop de temps à s'installer, et c'est surtout la deuxième partie du film qui est chargé en scènes de sexe.
Rien de très surprenant de ce côté, HB est un film ultra classique. Même si notre héros musclé et tatoué tente de provoquer l'extrème, les positions sont super classiques, à base de levrettes et autres missionnaires, et souvent assez courtes. Mais comme elles s'enchainent bien ce n'est pas trop trop grave.
Un mot sur les décors aussi, magnifiques, avec maison de millionnaire ou jardin luxuriant.

Les scènes hétérosexuelles alternent avec des scènes lesbiennes (on est chez Vivid hein, 'faut pas déconner non plus), qui sont presque mieux que les autres scènes.
La partouze du commissariat est plutôt bien efficace aussi, et la dernière scène lesbienne est peut-être la meilleure scène du film. Heureusement d'ailleurs, car c'est déjà la fin. Et oui, c'est le bémol du film, on a encore un peu la dalle à la fin. Tout va un peu trop vite et on regrette de ne pas avoir eu plus de scènes, et plus intense.

Les actrices sont quant à elles (et comme d'habitude avec Paul Thomas) sublimes, avec des jeux d'éclairage très doux qui donnent envie de croquer dedans.

En bref encore un bon film de Mister Thomas, peut-être qu'avec un peu plus de budget ça aurait pu donner un excellent film, mais c'est déjà très agréable comme ça. Un exemple pour de nombreux réalisateurs.
Bien sûr, ne le regardez surtout pas en version française, les doublages ont été -une fois de plus- massacrés.

NOTE : 15,5/20








































































Publié dans : Films classiques
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Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 00:09

Un film de : Roy Alexandre
Avec : Actrices transsexuelles : Renata, Tayssa, Lorena, Vanessa
           Actrices femmes : Bella, Monica, Lana, Milly
Durée : 80 minutes
Sortie :  2007

N°37? Déjà? C'est vrai que ça peut faire sourire de voir de longues séries de films pornos comme ça, car on se doute bien que la qualité n'est forcément pas au rendez-vous.
Déjà, comme ceci est la première critique d'un film transsexuel de ce site et parce que le public ne connait pas forcément, sachez qu'il existe un océan de différence entre le porno classique et le porno transsexuel. Outre la différence physique, il faut savoir que ce porno possède des codes esthétiques et graphiques très différents du porno classique. Les plans de caméra, les tenues vestimentaires, les positions, tout appele au fétichisme (aspect primordial de la plupart de ces films) et un oeil non-averti est en droit de se poser des questions.
D'autant que la plupart des films transsexuels sont des gonzos, le spectateur "normal" sera forcé de tenter de comparer avec des gonzos classique, et donc forcément y verra trop de différences...il n'y a que très peu de réalisateurs de porno transsexuel dans le monde qui ont du succès, et ce peu n'est pas toujours très bon...difficile donc de s'y retrouver et de se faire un jugement.

Mais revenons sur ce film, enfin cette série, -que-dis-je! cette saga que sont les Transsexual Beauty Queens.
Les premiers films étaient assez anecdotiques, mais comme énormément sont sortis en peu d'années, le niveau a bien progressé, même si il reste -selon moi- encore trop faible. Je pense que si Roy Alexandre se concentrait plus sur la qualité de ses films plutôt que de vouloir absolument en sortir 10 par an, ça serai plus profitable pour tout le monde.
Quand même, de sacrées stars sont passées par cette série, Gia Darling en tête.

Première constatation et pas des plus anodines, c'est du 100% girl dans ce volet. J'entends par là, la plupart des Transsexual Beauty Queens mettent en scène une transsexuelle avec un homme, généralement de type brésilien et pas toujours tops...dans ce n°37 au contraire, ce ne sont que des couples transsexuelles-femmes, ce qui ne plaira clairement pas à tout le monde. En effet, le public de ce genre de film étant principalement gay (ou bisexuel à préférence gay), les couples transsexuelles-hommes sont souvent préférés. Donc passez votre chemin si ça ne vous intéresse pas!

Scènes :
Premier et agréable détail de ce TBQ37, toutes les transsexuelles sont bien membrées, en bonne érection, bien épilées, souvent "gorgeous" à souhait, et bien maquillées. Sisi, les connaisseurs savent que c'est important à préciser.
La première scène met en scène Renata, une trans blonde avec une brune pour une scène en extérieur, plutôt classique mais qui tourne rond. Vaginal, anal, c'est exitant même si on en voudrait plus! Le visage de Renata n'est juste pas assez féminin, dommage..

Dans un décor exotique toujours, la deuxième scène reprend à l'identique la première, TS blonde avec GG brune. On ne comprend pas bien l'utilisation de la musique mais heureusement elle disparait rapidement. Tayssa a globalement un beau corps mais son visage peut gêner un peu...enfin, rien de grave, ça pilone dur et c'est l'essentiel.

Laurena, dans la troisième scène, a malheureusement la même syndrôme que la précédente actrice TS, à savoir seins démesurés...Mais aussi sa mâchoire, du coup ça en gênera sûrement certains...bon, maintenant les positions assurent et c'est franchement cool.
Mention spéciale à Milly et Lana, deux bonnes actrices GG dans ce film.

Le film termine sur Milly et Vanessa, et comme dans un peu tout le reste du film l'action est efficace même si classique, les plans de plongée-contre-plongée sont excitants comme il se doit dans ce genre de film, bref les amateurs en ont pour leur compte.


Même si le film est assez court et que les actrices TS ne sont pas à 100% féminines, on ne peut que saluer ce film qui met en scène uniquement des transsexuelles avec des femmes, ce qui est rare, et la qualité d'image et de cadrage qui s'améliore au fil des numéros de la série. Ca manque un peu de conviction parfois et certains défauts sont un poil gênants.
Maintenant, pour un n°37 on aurait quand même pu attendre mieux de ce réalisateur. Un film qui plaira clairement à un nouveau public pour ce genre si particulier.

NOTE : 13,5/20



































































Publié dans : Trans
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Mardi 9 décembre 2 09 /12 /Déc 02:19































Un film de : Christophe Clark
Avec : Britney, Bonny Bon, Evelyne Foxy, Kyra Black, Lisa Sparkle, Anna Santos, Simony Diamond, Angelina Crow, Valentina Blue, Ian Scott, David Perry, etc...
Durée : 160 minutes
Sortie : 2008.

Un bon gros gonzo spécialisé dans la partouze, réalisé par Christophe Clark, on peut se dire que ça va être du bon!
Surtout quand, à la vue de l'intro, on voit ce casting impressionnant. Enfin...quand on regarde un peu mieux, c'est impressionnant en quantité oui, mais pas toujours en qualité...

Une vingtaine d'actrices apparaissent dans ce film, plus ou moins longtemps à l'écran. Les acteurs sont beaucoup moins nombreux du coup et se répètent un peu...
Mais si Christophe Clark, passé à la 100% réalisation (ancien acteur) il y a quelques années, nous avait fait d'excellents gonzos (la série des "Angels Perverses" par exemple), on s'attendait à mieux de cette nouvelle "grosse" production.

A commencer par la qualité de l'image...Tout est très sombre, saturé, un peu glauque...Est-ce pour se donner un style? Ou pour pwned les pirateur-téléchargeurs pour les avoir sur la qualité? Honnètement je possède le DVD officiel et ce n'est pas top...on pourrait alors se dire que c'est son style artistique, mais non ses autres films ne sont pas comme ça...bon, passons.

Scènes :
C'est notre frenchie national Ian Scott qui ouvre le bal, (avec visiblement moins de muscles qu'avant! Mais tant que le reste marche...) dans un espèce de scénar bidon sur lequel je ne m'attarderai même pas tant il est aussi insignifiant qu'une BX sans Diesel. Son pote arrive et ça part en baise "traditionnelle" mais bien efficace, ce Ian Scott n'a décidément pas perdu son énergie.

---Puis, un curieux interlude saphique arrive, avec musique posée et plans au ralenti avec trois actrices...Heu...oui, ok, on a juste du mal à voir ce que ça fout là mais bon, why not.---

On revient sur de la baise hardcore! (ouf!) Avec deux actrices qui se dilatent largement avant de voir revenir notre Ian Scott, qui a décidément du succès dans ce film! Un bon gros moment encore, dommage que les actrices ne semblent pas se donner à fond...

La prochaine scène est celle qui m'a pas mal dérangée. Déjà parce que les deux actrices ne sont pas franchement belles (surtout celle habillée en vert, Bonnie Bon...je m'excuse si il y a des fans parmi vous), mais que tout ça sonne trop faux. Les deux actrices se tapent deux fois deux mecs d'affilé, donc du coup tout va très vite, les positions et tout, un brin trop violent et on ne ressent pas énormément de plaisir dans tout ça...Et puis, AHhh! Stop les gros plans sur la tête de cette foutue actrice aux pastèques à la place des seins! Non sérieusement, j'ai beaucoup de respect pour les acrices X mais elle m'a vraiment énervé.

Heureusement David Perry, acteur français lui aussi, relève le niveau avec la scène suivante! Etant l'auteur de films  de type "reverse gang-bang", il dompte comme il faut deux belles brunes. Mis à part le fait que la scène est trop sombre, c'est du bon.

Enfin on a une scène en aveugle, c'est-à-dire que les actrices ont les yeux bandés du début à la fin. Bon je ne suis pas sûr que tout cela soit des plus excitant, enfin on sait jamais hein...mais les actrices ne sont pas top non plus alors..que reste-t-il au final?

Hungarian Angels est donc pour ceux qui ont la dalle, qui veulent du cul rapide, positions rapides, dilatations rapides, sans même trop être regardant pour les actrices. Dommage, on aurait aimé un peu plus d'esthétisme, mais c'est ce qui doit différencier les gonzos américains de ceux de l'Europe de l'Est.

Note : Pour ceux qui ont la dalle : 14/20
           Pour les autres : 12/20





















































Publié dans : Gonzo
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